Journée d’ouverture 18 janvier

Programme de la journée

  • 9h00 : Accueil. introduction à PRIST et au module, par Nathalie Stefanov, Christophe Chaillou, Stéphane Cabée, Marie Lelouche.
  • 10h -10h30 : Visite de l’ESÄ
  • 10h30- 11h30 : Constitution des binômes et définition des sujets
  • 11h30 – 12h15 : Cours sur la VR, par Christophe Chaillou
  • 12h15-12h30 : Présentation de l’atelier par Jonathan Paquet 
  • Pause déjeuner       
  • 13h15- 16h00 : Construction /Mise en œuvre.
  • 16h-17h00 : Restitutions des projets

L’atelier, par Jonathan Paquet

Le 18 janvier, l’artiste Jonathan Paquet, fort de son expérience immersive « A l’heure de la sieste« , présentée au Fresnoy-Studio national des arts contemporains en 2020, est venu dans un premier temps présenter son travail qu’il poursuit avec Christophe Chaillou (logiciel IIVIMAT). Puis dans un second temps, il a lancé un atelier permettant d’une part d’u-instaurer une réflexion pratique sur la réalité virtuelle et d’autre part que les binômes se rencontrent en réalisant ensemble un projet pendant quelques heures.

Projet de Hugo Miel et Alexis Bens

DESCRIPTION DE L’ATELIER

« Chacun des binômes, constitués d’un étudiant en art et d’un ingénieur, devra réaliser une maquette d’un lieu réel ou imaginaire à l’image de celles utilisées dans le milieu de l’architecture ou de la muséographie. Cette maquette doit être un espace doté d’ouvertures (fenêtre, porte…) donnant sur un ou plusieurs espaces. Par exemple,
intérieur vers l’extérieur, extérieur vers l’intérieur, intérieur vers intérieur, etc.

L’un des enjeux de cet atelier est de créer des ouvertures de tailles et de formes diverses, et derrière celles-ci se
trouve un espace réel ou virtuel sous forme de peinture, dessin, photographie, ou vidéo. Le but est de faire cohabiter différents médiums dans un même espace. Ces ouvertures pourront aussi tout simplement laisser entrer la lumière.

En fin d’atelier, une captation vidéo depuis l’une des ouvertures permettra de visualiser le résultat.

Objectifs: Cet atelier tend à symboliser la rencontre de deux monde, art et science, et
créer une frontière commune. Le projet doit être nourri par les idées des deux étudiants.
J’attends donc des idées transversales, c’est-à-dire que l’étudiant en ingénierie explore le territoire
de l’étudiant en art, et vice-versa. »

Jonathan Paquet

Quelques maquettes réalisées par les binômes